Quelques mois ou des années après un décès, plusieurs personnes attribuent à cet événement un pouvoir de croissance indéniable. Pourtant, cela n’enlève en rien la souffrance qui en découle et l’impression de ne jamais pouvoir retrouver son équilibre lorsqu’un proche meurt. De quelle façon le parcours sinueux qui suit la perte d’un être cher peut-il donner un sens à cet événement qui en semble dépourvu ? Inexorablement, les saisons du deuil suivent leur rythme, avec leurs intempéries, leurs arcs-en-ciel, leurs journées de pluie et ce soleil qui revient toujours !
Les saisons du deuil, la mort tisserande de la vie – Josée Jacques
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